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7 faits insolites sur le syndrome du brasseur

7 Random Facts About Brewer’s Droop

Mais conseiller aux gens d’arrêter totalement l’alcool ne semble pas être une solution réaliste. Comme l’a appris le secteur de l’éducation sexuelle, l’abstinence n’est que rarement la réponse. Existe-t-il donc des solutions au problème du « brewers’ droop » ? Nous avons compilé quelques faits essentiels (et d’autres moins connus) sur ce souci lié à la bière, et comment y faire face.

7. Il peut y avoir du sang, mais il ne va probablement pas rester

L’alcool provoque une dilatation des vaisseaux sanguins : comme ils s’élargissent, on pourrait penser que cela favorise l’érection, puisqu’il y a plus de sang qui afflue vers le pénis. Malheureusement, les études montrent que cela n’est vrai que si l’on consomme de petites quantités d’alcool en une soirée (c’est-à-dire deux ou trois verres). Au-delà, le sang repart aussi vite qu’il arrive.

6. Il n’y a pas que l’alcool qui provoque la « panne du brasseur »

La bière est bien trop souvent accusée de provoquer des troubles érectiles temporaires, alors qu’il faut préciser que d’autres drogues peuvent aussi en être la cause. Des substances comme la cocaïne ou le cannabis peuvent contribuer à la dysfonction érectile, et on sait que le tabac en général y participe également. Les drogues de club comme la MDMA (aussi appelée Ecstasy ou « Molly » pour les hipsters qui lisent VICE) peuvent également affecter la rigidité. Bien que certaines personnes parlent d’une sensibilité accrue sous MDMA, cela s’accompagne souvent d’une lutte frustrante pour avoir une érection.

5. La panne sexuelle due à l’alcool est parfois appelée « whisky dick »

Aux États-Unis – et sûrement dans d’autres pays aussi – ce qu’on appelle ‘brewer’s droop’ est connu sous le nom de ‘whiskey dick’. Du genre : ‘hier soir j’ai trop bu à la soirée et j’ai fini avec une whiskey dick’.

Évidemment, tous les hommes ne boivent pas du whisky, donc si vous cherchez une alternative, on vous propose ‘vodka molle’, ‘bière molle’ ou ‘Sémillon semi-mou’, selon vos préférences.

4. Il existe une vraie entreprise appelée ‘Brewer’s Droop’

Ils vendent des kits de brassage maison. Évidemment.

3. Les femmes aussi peuvent avoir une panne sexuelle due à l’alcool

Bon, on n’appelle pas ça un « ramollissement » quand on a un vagin, mais l’alcool en excès peut aussi poser des soucis similaires chez les femmes : le vagin peut être moins lubrifié qu’avant et l’orgasme plus difficile à atteindre. Il n’y a pas de terme officiel pour ça, mais vos suggestions sont les bienvenues en commentaire. Alors, qui veut un Dry Martini ?

2. « Essaie de ne pas y penser » n’est pas toujours un bon conseil

Le psychologue Daniel Wegner a imaginé l’expérience de « l’ours blanc » pour tester les effets de la suppression de ses propres pensées.

Il a demandé à des sujets de discuter de n’importe quel sujet avec lui pendant 5 minutes, tout en essayant délibérément de ne pas penser à un ours blanc. Chaque fois qu’ils y pensaient, ils devaient sonner une cloche. Inévitablement, l’expérience s’est terminée dans une ambiance de messe du dimanche, les participants devenant de plus en plus frustrés à mesure que l’ours blanc envahissait leur esprit. Mais ce n’est pas tout – il a ensuite répété l’expérience, cette fois en donnant la permission de penser à l’ours blanc. Ceux à qui on avait dit précédemment de ne pas y penser ont continué à sonner la cloche bien plus souvent qu’un groupe témoin à qui l’on avait permis d’y penser dès le départ.

Quel rapport avec le « brewer’s droop » (la panne due à l’alcool) ? Eh bien, l’expérience a montré que plus on essaie de ne pas penser à quelque chose, plus il est probable que cela nous obsède. Donc, quand on se retrouve avec un « whiskey dick » après une soirée arrosée, se dire d’ignorer le problème n’est peut-être pas la meilleure idée.

1. La panne sexuelle due à l’alcool, ce n’est pas la fin du monde

Alors, si vous n’êtes pas censé y penser, mais pas non plus censé ne pas y penser, comment diable gérer le syndrome du brasseur quand il frappe ? Trois solutions s’offrent à vous :

  • Préparation. Ici, il s’agit de ne pas trop boire dès le début, surtout si vous pensez que vous aurez des envies et de la compagnie plus tard. Autrement, remplacer vos boissons habituelles par des versions moins alcoolisées (et ignorer les serveurs de Wetherspoon lorsqu’ils vous proposent de doubler pour une livre) pourrait vous éviter d’être victime d’une panne sexuelle plus tard.
  • Alternatives. Il va de soi que personne ne devrait avoir de rapports sexuels avec vous si vous êtes trop ivre pour consentir, mais la panne sexuelle liée à l’alcool peut aussi toucher ceux qui sont simplement un peu éméchés mais encore conscients. Si cela vous arrive, il y a plein de choses à faire au lit même si votre pénis n’est pas coopératif : sexe non pénétratif, frottement, masturbation mutuelle, sexe oral… la liste est longue.
  • Sextoys. Oui, il existe des sextoys que vous pouvez utiliser même en étant au repos. Le PULSE SOLO ESSENTIAL est un sextoy révolutionnaire pour homme qui peut s’utiliser aussi bien au repos qu’en érection, et il a été salué par les experts en santé sexuelle comme « révolutionnaire ».


Si vous constatez que vous souffrez à plusieurs reprises de dysfonction érectile, il est impératif d’en parler à votre médecin – la DE peut parfois être le symptôme de problèmes de santé plus graves. Mais si vous vous inquiétez du « brewer’s droop », rassurez-vous, vous n’êtes pas seul·e – l’alcool fait baisser les inhibitions mais, chez la plupart des gens, il a aussi un impact sur la fonction sexuelle. Si vous prévoyez une nuit torride avec un·e partenaire, rester sobre est sans doute la meilleure option, mais des jouets comme le PULSE SOLO ESSENTIAL peuvent vous accompagner, même si votre érection n’est pas aussi ferme que vous le souhaiteriez.

N’oubliez pas de boire (et de baiser) avec modération.