Les plans à trois dans la vraie vie ne ressemblent jamais à ceux des films porno... et c’est plutôt génial
Ma femme et notre copine m’ont sucé la bite, mais pas avec du maquillage chargé et des faux « mmm ». Elles l’ont sucée lentement, profondément, se dévorant de baisers tout en mettant du désordre sur ma queue.
Comme prévu, je suis venu beaucoup trop vite. Mais évidemment, pour eux, ce n’était que le début.
Notre copine a attiré ma femme sur elle avec gourmandise, et ma femme a grogné et mordu ses seins, ce qui a fait rire tout le monde.
Elle commença à glisser sa main entre les jambes de notre copine. Je regardais, béat et impuissant, tandis qu’elle faisait pénétrer un doigt après l’autre, faisant onduler notre copine comme un serpent au soleil.
À ce stade, j’avais dépassé le cap de la surstimulation et j’étais prêt pour plus. Mon sexe mou, cependant, n’était pas encore au diapason de mon envie.
Heureusement, j’avais exactement l’outil qu’il fallait.
Deuxième round
Sur les genoux tremblants, j’ai réussi à ramper jusqu’à la table de chevet. J’ai ouvert le tiroir et fouillé à l’aveugle jusqu’à ce que je trouve ce que je cherchais : le PULSE DUO LUX.
J’ai levé un doigt et tenté de faire une moue assez mignonne pour excuser mon interruption imminente : « Euh, déesses magiques ? »
Notre copine a fait la moue, mais ma femme a levé un sourcil et tendu la main, « Ouiiiii ? »
Elle savait ce que je voulais : qu’elle contrôle les vibrations de la gaine en silicone que j’étais sur le point d’enfiler sur mon sexe. J’ai souri, satisfait, et ai attaché la télécommande façon montre à son poignet.
Brève incursion dans le voyeurisme
Ma femme est retournée au travail, retournant notre petite amie à quatre pattes pendant que je m’installais sur un oreiller et glissais mon sexe dans la chambre du PULSE DUO. « Doucement, s’il te plaît ! » ai-je crié alors que ma moitié activait la technologie PulsePlate du jouet. Les sensations de pulsations et de battements qui traversaient mon bassin étaient dignes de montagnes russes.
J’ai entendu la voix de notre copine descendre d’une octave et j’ai su que ma femme avait réussi à glisser toute sa main à l’intérieur. Son orgasme a retenti, tonitruant et terrifiant, comme un tsunami s’abattant sur une falaise. Plus son énergie montait, plus celle de ma femme devenait profonde, surfant sur les vagues avec elle, la tenant alors qu’elle fondait et tremblait.
Évacuation d’urgence ! J’ai retiré DUO LUX juste à temps. Ce jouet te fera jouir TRÈS VITE si tu n’y prends pas garde.
Les filles ont tout le fun
Les Femmes Fatales gloussaient et j’ai entrouvert les yeux pour les voir ramper vers moi, alors que j’étais dans un état lamentablement excité.
Mes partenaires ont commencé à m’embrasser partout sur le corps, clairement amusé·es par mon impatience. En riant et me taquinant, iels frottaient leurs tétons et vulves contre ma peau. Iels s’embrassaient juste au-dessus de ma tête, si bien que mon visage se retrouvait perdu dans une mer de seins. Impuissant·e, j’ai glissé mes mains entre leurs cuisses humides en pensant : « Il y a pire comme situation. »
Juste au moment où je pensais vraiment m’évanouir (y a-t-il un mot pour désigner l’étouffement par la poitrine ?) quelqu’un a enroulé le PULSE DUO LUX autour de ma bite. Ma femme a attaché la seconde télécommande au poignet de notre copine et lui a dit : « Installe-toi. » Elle s’est assise sur mon visage et elles ont toutes les deux commencé à régler les vibrations du PULSE.
Pas de repos pour les méchants
J’ai commencé à prier pour la longévité en gémissant dans les doux mouvements du sexe de ma copine. Les courbes familières des cuisses de ma femme entouraient mes hanches alors qu’elle se hissait sur le jouet.
« Tu veux jouer avec mes tétons ? » a demandé une voix. Quelqu’un a dû accepter, car une avalanche de petits cris et de bruits de nourriture a suivi.
Ma femme a intensifié ses mouvements. Quelqu’un a augmenté la PulsePlate, et j’ai commencé à sentir tout mon bassin vibrer, jusque dans le périnée, jusque dans la base même de ma bite. Notre copine a commencé à utiliser un vibro sur son clitoris (je vous jure, elle sort ce truc de nulle part !) et j’ai su qu’on allait tous jouir.
J’aimerais comparer l’expérience à un orage électrique, dire que nous sommes ces forces de la nature magnifiques réalisant notre potentiel tantrique. Mais parfois, un orgasme ressemble plutôt à un ivrogne qui s’effondre sur une rangée de dominos.
Il y a eu des tremblements, des rires, des corps emmêlés sous une pile d’amants, et des « Oh mon Dieu, éteins-le, éteins-le ! » Et moi, recroquevillé en position fœtale, blotti dans l’étreinte moite de deux déesses en sueur.
Enfin, cinq minutes complètes de silence avant que quelqu’un ne dise inévitablement… « Qui fait à manger ? »
