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Érotisme : Le edging avec un cock ring

Erotica: Edging With A Cock Ring

James Mycroft, notre blogueur invité régulier, a signé certains de nos articles les plus populaires cette année. Ce mois-ci, il s’attaque à l’érotisme en racontant son expérience avec notre cockring ATOM… ainsi qu’un autre de nos jouets (saurez-vous deviner lequel ?)… dans un scénario d’edge très sexy.

« Tu crois que tu peux rester immobile ? »

Les cordes sont tendues en un instant, puis le bandeau recouvre mes yeux. Il ne s’agit pas de punitions, mais de moyens pour me concentrer sur ce qu’elle compte me faire. Avant que je puisse bouger, je sens des mains sur moi. On me tire d’un côté, puis de l’autre. Du lubrifiant glissant, puis un anneau serré m’agrippe, quelques poils arrachés au passage alors qu’il est légèrement tordu. J’étais déjà en train de bander, mais maintenant je sens chaque pulsation à mesure que je gonfle.

« À qui est-ce ? »

Je lui donne la réponse qu’elle attend, immédiatement. Ses doigts glissent de haut en bas sur la peau sensible, et ce n’est que le début. L’anneau me garde dur pendant qu’elle me surprend avec des sensations : une plume, suivie du cuir rigide d’une cravache. Des doigts qui frétillent, de la base à la pointe, puis le léger fouet d’un flogger en silicone. Une fois, elle m’a fait deviner chaque accessoire, avec des gages à la clé pour chaque erreur. Mais maintenant, elle veut juste que je concentre tout mon esprit sur une seule partie de mon corps.

« Ou est-ce ce que tu voulais ? »

Elle abandonne toute subtilité, m’empoigne avec sa main lubrifiée. Les mouvements longs et lents laissent place à un rythme plus rapide… mais avant que je puisse commencer à donner des coups de reins, elle ralentit. Plus vite, puis plus lentement. L’anneau, lourd à la base de moi, maintient la peau tendue et hypersensible sous ses caresses. Avec des mots urgents et provocateurs, elle m’incite à bouger, suggère qu’elle me laissera jouir… pour s’arrêter à nouveau, me laissant tremblant et avide. Je donnerais tout pour qu’elle me touche un peu plus longtemps, mais elle a déjà tout ce qu’il lui faut. Enfin, alors que je suis à deux doigts de crier mon safeword, elle enlève le bandeau.

« Tu sais ce qui va se passer si tu détournes les yeux ? »

Je n’y arriverais pas, même si ma vie en dépendait. Ses doigts reprennent ce rythme, mais cette fois sur son propre corps, pas sur le mien. Il y a quelques instants, c’est moi qui étais taquiné·e, mais à présent c’est son plaisir qui monte. Voilà le paradoxe : l’edging – me taquiner, me faire monter jusqu’au bord puis me refuser l’orgasme – est son préliminaire préféré. Je ne sais pas si ses yeux sont fermés, perdus dans cette scène et la sensation de ses doigts, ou si elle me regarde en train de la regarder. Est-ce de l’exhibitionnisme parce qu’elle me fait regarder, ou du voyeurisme parce qu’elle observe ma réaction impuissante ? Dans tous les cas, elle laisse échapper un gémissement de plaisir alors que je frémis, son contentement faisant écho à ma frustration.

« Bien sûr, je n’ai pas eu besoin de m’arrêter avant le meilleur moment… tu es jaloux ? »

Elle attrape un côté de l’anneau, et un nouveau souffle m’échappe alors qu’il commence à vibrer. Il appuie contre moi, la pulsation sourde me fait écarquiller les yeux, et elle se penche pour sourire en voyant mon expression avant de rabaisser le bandeau sur mes yeux. Observant mes frémissements, elle commence à caresser mon torse, remonte jusqu’à mes poignets attachés, puis descend jusqu’à mes genoux, prenant soin d’éviter les endroits où je meurs d’envie de sentir sa main. Cette fois, toutes ses caresses sont douces, un contrepoint furtif au grondement profond et régulier du vibromasseur. Un bout de doigt, un ruban, une brosse douce, un morceau de satin… alors que je commence à tirer sur mes liens, elle répond en faisant glisser chaque texture, chaque taquinerie, sur la zone sensible de mon entrejambe. Elle sait que j’ai besoin d’une pression plus ferme pour m’emmener au bord, alors une partie de moi comprend que ses mots ne sont qu’un jeu.

« Si cela ne suffit pas, pourquoi ne pas équilibrer le plaisir avec un peu de punition ? »

La sensation suivante n’a rien de doux. C’est de nouveau la lanière de cuir, qui s’abat sur ma raideur. Après une douzaine de coups, elle passe au martinet, chaque brin de silicone provoquant une piqûre différente. Certains touchent des zones plus sensibles que d’autres. Dans d’autres circonstances, cela pourrait me faire débander, mais l’anneau semble rendre cela impossible. La cravache est encore plus intense, elle me fait tressaillir à chaque fois, ce qui rend la visée plus difficile pour elle. Les derniers coups me font haleter, puis elle la pose de côté pour saisir fermement la base de mon sexe. Ma peau se retrouve alors pressée contre l’anneau vibrant et j’étouffe un gémissement, avant de crier quand elle me gifle de l’autre main. Seuls quelques doigts me touchent, mais elle vise à nouveau le frein sensible, et c’est si intense que je ne sais pas combien de temps je vais tenir. Mais avant que je puisse la supplier d’arrêter, elle relâche sa prise pour étaler un lubrifiant frais sur mon gland.

« Tu crois que ça va motiver à bien faire le boulot ? »

Avant même de pouvoir me demander ce qu’elle veut dire, je la sens guider quelque chose autour de mon gland. C’est lourd, ça glisse contre le lubrifiant, et quelques instants plus tard, les vibrations de l’anneau sont rejointes par un autre rythme, cette fois contre mon frein. Ce nouveau jouet concentre les sensations à cet endroit qui est si agréable, et je sens un frémissement en réponse. Je sens le lit bouger quand elle se place au-dessus de moi, devinant qu’elle se tient là, peut-être pour observer mon expression. Elle passe une main douce dans mes cheveux, et je sens les pulsations du vibromasseur sur mon érection s’intensifier puis s’atténuer légèrement.

« Tu penses que ce sera ton tour ensuite ? »